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Les présupposés de la PNL sont des prédictions créatrices positives, constructives sur soi, sur les autres et sur le monde. Ce sont des croyances, pas des vérités, aussi avons-nous la liberté d’y croire ou pas !!!
Richard BANDLER et John GRINDER constatent qu’il s’agit de croyances communes aux meilleurs communicants et en particulier à ceux qu’ils modélisent pour construire le modèle de changement qu’est la PNL : Virginia Satir, Fritz Perls et Milton Erickson.
En transmettant la PNL ils constatent aussi qu’au fur et à mesure de la capacité individuelle à les intégrer, ils influencent favorablement notre façon de communiquer, puis plus largement celle d’exister dans une plus grande justesse.
1 / La carte n’est pas le territoire
Notre perception est subjective, elle est une représentation (carte ou modèle) de la réalité et non la réalité elle-même. Il existe peut-être une réalité, et en même temps il existe autant de représentations de cette réalité que de personnes.
Faire le choix de communiquer, c'est instaurer un rapport entre la carte du monde de l’autre et sa propre carte.
Plus la carte du monde de l'autre est différente de la nôtre, plus cela demande d'acceptation, d’ouverture et de respect pour communiquer avec celle-ci.
2 / Toute personne a en elle les ressources pour parvenir à son objectif
Les ressources du changement se trouvent au cœur de notre expérience. Chacun possède les ressources nécessaires à son développement. Nous avons simplement à vérifier que notre objectif est réaliste et dépende vraiment de nous.
Le travail sur soi permet, si nécessaire, d'organiser ces ressources potentielles pour qu'elles deviennent opérationnelles.
3 / Tout comportement est généré par une intention positive de notre inconscient
Ce présupposé permet de bien faire la
différence entre l’intention qui est positive et le comportement qui lui n’est pas toujours positif. Notre inconscient nous porte à faire le meilleur choix parmi ceux qui nous sont possibles.
En ayant ce comportement que je n'aime pas ou que je juge négativement, qu'est-ce que je cherche ou que je cherchais à me donner de tellement important pour moi ?
4 / Nos limites sont les représentations de nos limites
Pas aussi limités que nous pensons l’être, nous sommes souvent prisonniers de nous-mêmes, de l'image que nous nous faisons de nous comme de celle que l’on nous a donnée. C’est la façon dont nous nous représentons nos limites qui est limitante.
C'est à l'endroit où nous croyons avoir nos plus grandes limitations que nous avons nos plus grandes ressources.
5 / A un moment donné de sa vie, toute personne fait le meilleur choix possible compte tenu du contexte et des ressources dont elle dispose à ce moment-là
Tout comportement, adéquat ou non par rapport à une situation, a pour but de s'adapter à celle-ci. Le comportement est le résultat d'un choix considéré comme le meilleur possible à un moment donné, compte tenu, par exemple, de nos motivations inconscientes et de nos capacités, pour parties dues à nos expériences et nos connaissances.
Ce présupposé nous invite à sortir de la culpabilité et à accueillir toutes les parts de nous, même celles que l’on apprécie moins.
6 / Le corps et l’esprit sont un seul et même système et ils sont indissociables
Quand je modifie mon comportement ou ma physiologie, je transforme ma façon de penser et de sentir. Et inversement.
7 / Nos erreurs sont des sources d’informations qui nous invitent à agir autrement
Donnons-nous la permission de faire des erreurs et d’accepter les erreurs de l’autre.
Qu’est-ce que j’ai à apprendre de ce qu’il s’est passé ?
8 / Le sens de notre communication est donné par la réponse que nous recevons, quels que soient nos intentions ou nos sentiments
La résistance du récepteur est un commentaire sur le manque de flexibilité de l’émetteur, sur sa difficulté à établir et à maintenir une bonne communication.
La réaction de l'autre va m'indiquer que j'ai communiqué de façon juste. Nous sommes responsables de notre communication.